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E
Les personnes immigrantes sont proportionnellement moins nombreuses à être en emploi et plus nombreuses à être en chômage que les personnes nées au Québec, quel que soit leur sexe, leur groupe d’âge ou leur niveau de scolarité.  +
Les personnes immigrantes sont proportionnellement moins nombreuses à être en emploi et plus nombreuses à être en chômage que les personnes nées au Québec, quel que soit leur sexe, leur groupe d’âge ou leur niveau de scolarité.  +
I
À l’âge de 20 ans, 18 % des jeunes adultes sont sans diplôme d’études secondaires.  +
Les élèves de 25 ans et plus composent plus de 60 % de l’effectif de la formation professionnelle.  +
L’effectif de la formation continue des cégeps se compose en majorité d’adultes de 25 ans ou plus et de femmes.  +
L’effectif <sup>note1</sup> des universités du Québec est à la hausse en 2020-2021. Il se compose en majorité de femmes et d’adultes de 24 ans ou moins.  +
L’éducation formelle au Québec répond aux besoins éducatifs de plus de 642 000 adultes, dont plus de la moitié ont 25 ans et plus.  +
Au Québec, moins d’une personne sur deux a participé à une activité de formation non formelle en 2012.  +
Le temps disponible demeure le principal obstacle à la participation à l’éducation et à la formation des adultes, alors que le désir d'améliorer ses perspectives d'emploi est le principal incitatif mentionné par les adultes.  +
La moitié des personnes dont la participation a été freinée ou entravée voulait participer davantage.  +
La demande pour la formation de nombreux adultes québécois demeure insatisfaite : cette demande croît en fonction du plus haut niveau de scolarité atteint et varie selon l'âge.  +
Parmi les adultes de 25 à 64 ans sans diplôme, une personne sur cinq serait inscrite à la FGA.  +
Entre 2015 et 2021, la proportion d’adultes de 25 ans et plus ayant obtenu un diplôme à la formation professionnelle et à la formation générale des adultes n’a cessé de croître, tandis que la proportion d’élèves de 24 ans et moins ayant obtenu un diplôme de ces secteurs stagnait ou diminuait.  +
Plus d’un jeune adulte québécois sur dix dans la vingtaine n’est ni aux études ni en emploi ou en formation (NEET<sup>1</sup>) : il se retrouve ainsi plus susceptible de vivre une situation d’exclusion<sup>2</sup>.  +
Une importante proportion d’adultes de 25 à 64 ans sans diplôme n’est pas en emploi. Par ailleurs, les hommes sont toujours plus en emploi que les femmes pour un même niveau de scolarité.  +
Plus que jamais, l’absence de diplôme est une source d’exclusion du marché du travail.  +
À peine la moitié des adultes du Québec possèdent des compétences en littératie suffisantes leur permettant d'assurer pleinement leur autonomie d'action  +
Un adulte sur au Québec affiche de faibles ou de très faibles compétences en numératie  +
Une enquête de l'ICÉA révèle que de nombreuses organisations ont été fragilisées par les réductions du financement public dédié à l’éducation.  +
En 2020-2021, le financement à la mission globale du Programme d’action communautaire sur le terrain de l’éducation (PACTE) s’élevait à 28,5 M$, ce qui représente en moyenne 140 510 $ par organisme.  +
En 2020-2021, le financement à la mission globale du Fonds d’aide à l’action communautaire autonome (volet Promotion de droit) s’élevait à 33,5 M$, ce qui représente en moyenne 98 344 $ par organisme.  +
En 2020-2021, le financement à la mission globale du Programme de soutien financier à l’action communautaire auprès des familles s’élevait à 38,1 M$, ce qui représente en moyenne 146 158 $ par organisme.  +
Les transferts fédéraux en matière d’immigration ont augmenté de plus de 160 % entre 2010-2011 et 2020-2021, tandis que le financement des services de francisation du Québec augmentait de 92 % au cours de la même période.  +
Le financement de la francisation et de l’intégration des personnes immigrantes en milieu communautaire a augmenté entre 2010-2011 et 2020-2021. Cependant, les transferts aux organismes communautaires autonomes actifs en francisation n’ont significativement été augmentés qu’en 2019-2020.  +
La part du PIB que le Québec consacre aux dépenses en enseignement est comparable ou supérieure à la moyenne canadienne.  +
En 2020-2021, le financement à la mission globale du Programme de soutien à la mission du ministère de l’Immigration, de la Francisation et de l’Intégration (MIFI) s’élevait à 5,1 M$, ce qui représentait en moyenne 124 841 $ par organisme communautaire autonome.  +
En 2012, le quart des personnes en emploi répondantes à l’enquête du PEICA déclarait avoir besoin d’une formation supplémentaire afin de bien réaliser leurs fonctions de travail.  +
Plus de 86 % des adultes de 16 à 65 ans utilisent un ordinateur en dehors du travail.  +
Les personnes vivant avec un handicap ou une maladie chronique affichent un niveau de scolarité inférieur à celui de la population en général.  +
Les personnes vivant avec une incapacité sont proportionnellement plus nombreuses à ne pas avoir de diplôme, quel que soit leur âge ou leur sexe.  +
De manière générale, les personnes vivant avec une incapacité de 15 à 64 ans sont moins actives sur le marché du travail : elles affichent des taux d’emploi plus faibles et des taux d’inactivité plus élevés que les personnes sans incapacité quel que soit le sexe, l’âge ou le niveau de scolarité.  +
Au sein de la population âgée de 15 ans et plus, les personnes vivant avec une incapacité sont proportionnellement plus nombreuses à afficher des revenus de moins de 30 000 $ et moins nombreuses à bénéficier de revenus supérieurs à 30 000 $.  +
Dans les pays développés, le coût d'un faible niveau de compétence en littératie correspondrait à 2 % de son produit intérieur brut. Ce coût représente des milliards de dollars pour le Québec!  +
Au Québec, les écarts négatifs entre les Autochtones et la population du Québec demeurent importants chez les personnes qui ont un diplôme universitaire ou sans diplôme. Cependant, ces écarts sont moins importants aux différents niveaux de scolarité intermédiaires. Les Autochtones sont même proportionnellement plus nombreux que les non-Autochtones à avoir un diplôme d’apprenti ou d’une école de métier.  +
Les populations autochtones sont proportionnellement plus nombreux que les non autochtones à se classer aux niveaux 1 et inférieur à 1 de littératie et de numératie.  +
De manière générale, les Autochtones affichent des taux d’emploi plus faibles ainsi que des taux de chômage et d’inactivité plus élevés que l’ensemble de la population du Québec. Les Autochtones ayant un diplôme universitaire constituent cependant une exception, avec des taux d’emploi et d’inactivité comparables à l’ensemble de la population du Québec.  +
Les Autochtones de 25 à 64 ans semblent bénéficier davantage des effets d’une forte scolarisation que les personnes de l’ensemble du Québec ayant également une forte scolarisation. Cela dit, le revenu d’emploi médian des Autochtones ayant une scolarité équivalente ou inférieure au diplôme d’apprenti ou d’une école de métier demeure moins élevé que les personnes de l’ensemble du Québec ayant une scolarité comparable.  +
Les Autochtones de tous les groupes âges présentent des fréquences de faible revenu plus élevées que l’ensemble de la population du Québec.  +
La population immigrante du Québec se caractérise toujours par une forte proportion de personnes ayant des diplômes universitaires et une plus faible proportion de personnes sans diplôme.  +
Les personnes immigrantes sont proportionnellement plus nombreuses à se classer aux niveaux 1 et inférieur à 1 de littératie.  +
Les personnes immigrantes sont proportionnellement moins nombreuses à être en emploi et plus nombreuses à être en chômage que les personnes nées au Québec, quel que soit leur sexe ou leur niveau de scolarité.  +
Les personnes immigrantes de 25 à 64 ans ont un revenu d’emploi médian moins élevé que celui des personnes de l’ensemble du Québec, quel que soit le sexe ou le niveau de scolarité. Par ailleurs, le revenu d’emploi médian de toutes les femmes est inférieur à celui de tous les hommes, quel que soit l’âge ou le niveau de scolarité.  +
La fréquence du faible revenu après impôt est plus élevée chez les personnes immigrantes. Selon le groupe d’âge, cette fréquence varie de 20 % à plus de 30 % pour les personnes immigrantes, alors qu’elle oscille entre 10 % et 18 % pour les personnes nées au Canada.  +
De nombreux jeunes terminent leurs études secondaires à l’éducation des adultes.  +
La grande majorité (90 %) des adultes québécois de 18 à 65 ans qui n’ont pas de diplôme d’études secondaires (DES) ont de faibles compétences en littératie et en numératie.  +
Les adultes de 25 ans et plus sans diplôme affichent des taux d’emploi inférieurs ainsi que des taux de chômage supérieurs à ceux des adultes ayant un diplôme. On observe par ailleurs que les taux d’emploi des adultes de 25 ans et plus varie beaucoup en fonction du sexe et du niveau de scolarité.  +
Les revenus d’emploi des adultes de 25 à 64 ans sans diplôme sont significativement moins élevés que ceux des adultes ayant un diplôme. On observe par ailleurs que les revenus d’emploi des femmes sont systématiquement moins élevés que ceux des hommes, quel que soit leur niveau de scolarité.  +
Les adultes de 18 à 65 ans sans diplôme représentaient 14 % de la population québécoise en 2012 : ils sont majoritairement nés au Canada, en emploi, résident dans de grands centres urbains et leurs parents étaient également sans diplôme.  +
La pratique d’activités liées à la lecture, à l’écriture, aux mathématiques ou à l’utilisation de l’ordinateur et d’Internet apparait être plus faible chez les adultes de 18 à 65 ans sans diplôme que chez leurs homologues avec diplôme.  +
Les taux de participation à des activités de formation des adultes de 18 à 65 ans sans diplôme sont systématiquement plus bas que ceux de leurs homologues avec diplôme.  +
La fréquence d’utilisation d’Internet par les adultes de 18 à 65 ans sans diplôme est nettement plus faible que celle de leurs homologues avec diplôme. De 50 à 70 % des adultes sans diplôme disent ne jamais utiliser Internet.  +
Les adultes de 18 à 65 ans ayant un diplôme sont proportionnellement plus nombreux que leurs homologues sans diplôme à lire et à écrire au moins une fois par semaine.  +
Quel que soit leur âge ou leur sexe, les parents monoparentaux sont plus susceptibles de ne pas avoir de diplôme que l’ensemble des parents du Québec.  +
Globalement, le revenu des familles monoparentales ayant des enfants de 0 à 17 ans est inférieur à celui des familles comptant un couple avec enfants de 0 à 17 ans. Les familles monoparentales sont par ailleurs plus susceptibles de se retrouver en situation de faible revenu.  +
Le nombre de familles monoparentales a augmenté de plus de 11 % au Québec entre 2001 et 2016. Parallèlement à cette augmentation, le nombre de familles avec couples et enfants a diminué.  +
Le Québec éducatif est partagé entre des adultes détenant une scolarité de niveau postsecondaire et des adultes détenant une scolarité qui ne dépasse pas le niveau secondaire.  +
Un adulte sur cinq éprouve des difficultés ou de grandes difficultés à comprendre l'écrit.  +
Quel que soit le groupe d’âge, le Québec affiche des proportions d’adultes sans diplôme plus élevées que la moyenne canadienne.  +
La proportion d’adultes de 25 à 64 ans sans diplôme d’études secondaires varie beaucoup selon les régions du Québec. Cependant, les hommes apparaissent être plus nombreux que les femmes dans cette situation.  +
Le Québec affiche l’un des plus bas taux de participation des adultes à l’éducation formelle et non formelle au Canada  +
Les nombre de personnes immigrantes admises au Québec ou ayant participé à un cours de français sont tous deux à la baisse ces dernières années.  +
Depuis 2019-2020, les effectifs<sup>note1</sup> à la formation générale des adultes (FGA) diminuent, tout comme les inscriptions faites par des adultes de 25 ans et plus.  +
L
Les personnes immigrantes sont proportionnellement plus nombreuses à se classer aux niveaux 1 et inférieur à 1 de littératie  +
Les personnes immigrantes sont proportionnellement plus nombreuses à se classer aux niveaux 1 et inférieur à 1 de littératie  +
Les populations autochtones sont proportionnellement plus nombreux que les non autochtones à se classer aux niveaux 1 et inférieur à 1 de littératie et de numératie.  +
R
Les personnes immigrantes ont un revenu médian après impôt moins élevé que celui des personnes natives, quel que soit leur âge ou leur sexe. Par ailleurs, les femmes ont un revenu inférieur à celui des hommes, quel que soit l’âge ou le niveau de scolarité.  +
S
La population immigrante du Québec se caractérise par une plus forte proportion de personnes ayant des diplômes universitaires et une plus faible proportion de personnes sans diplôme.  +
T
Sans emploi et n’étant pas en formation, des jeunes adultes dans la vingtaine sont à risque d’exclusion  +