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Document | Texte de la position |
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Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | b. Reconnaissance et financement de la contribution des organismes communautaires à la conciliation entre les études, la famille et l’emploi, notamment ceux offrant du répit aux mères-élèves et aux mères-étudiantes ou des activités culturelles ou sportives gratuites ou à faible coût pour leurs enfants; |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | 2. Une action personnalisée incontournable. C’est à l’échelle de leur vie réelle que les femmes font face à des obstacles freinant leur participation à l’éducation. C’est pourquoi les solutions proposées doivent avoir un effet dans le milieu de vie de celles-ci et, par conséquent, tenir compte des spécificités de ces milieux de vie. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | a. L’apport incontournable des partenaires du marché du travail se manifesterait par la possibilité pour les employés de bénéficier d’horaires stables et flexibles; |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | 4. Adopter une nouvelle politique gouvernementale d’éducation des adultes dont l’un des axes centraux serait la conciliation entre les études, la famille et l’emploi. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | a. Ajuster les barèmes du programme d’Aide financière aux études pour que ceux-ci correspondent aux coûts réels des frais de subsistance des parents-élèves et des parents-étudiants, et permettent de réduire au minimum leur endettement. La possibilité d’une vie décente pour soi et ses enfants devrait être le seuil économique visé. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | c. Mettre en place des services d’accueil pour guider les parents-élèves et les parents-étudiants vers les ressources et les services de conciliation; |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | g. Mettre à la disposition des parents-élèves et des parents-étudiants des laboratoires informatiques accessibles à des horaires adaptés à leurs besoins. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | c. L’apport incontournable des partenaires du marché du travail se traduirait par la mise en place d’une stratégie de concertation où les employés seraient sollicités dans cette réflexion sur les actions et les mesures à mettre en place pour favoriser la conciliation entre les études, la famille et l’emploi; |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | Une politique gouvernementale d’éducation des adultes reposerait sur de grands principes et objectifs : a. Élimination des inégalités socioéconomiques entre les hommes et les femmes; b. Incitation des pères ou des partenaires à augmenter leur implication dans la vie familiale et dans le travail domestique; c. Responsabilité collective des familles et des individus qui en font partie; d. Reconnaissance du caractère évolutif de ces besoins, car chaque famille rencontre des changements au fil du temps. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | 6. Adopter des pratiques organisationnelles durables de conciliation entre les études, la famille et l’emploi. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | 7. Inciter l’ensemble des partenaires du marché du travail à prendre des mesures contribuant à la conciliation entre les études, la famille et l’emploi. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | c. Rendre disponibles d’autres sources de financement, comme des bourses d’études dédiées aux parents-élèves et aux parents-étudiants. De telles bourses sont déjà offertes par diverses organisations, fondations et associations étudiantes. Pour renforcer le soutien financier aux parents-élèves et aux parents-étudiants, il conviendrait de rendre disponibles davantage de bourses d’études ou d’autres sources de financement pour les parents-élèves et les parents-étudiants aux études à temps partiel ou à temps plein. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | 3. Une action fondée dans le respect du droit à l’éducation. Concilier les études, la famille et l’emploi contribue à l’accès à l’éducation pour les femmes et manifeste une recherche d’équité et d’inclusion en éducation des adultes. Plus fondamentalement, la conciliation réussie entre les études, la famille et l’emploi fait progresser le respect du droit à l’éducation des femmes. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | f. Informer le corps enseignant et l’ensemble des personnels des conditions et des besoins spécifiques des parents-élèves et des parents-étudiants, des services existants ainsi que des nouvelles mesures mises en place pour adapter les services à cette population; |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | 1. Une action collective nécessaire. Lever les obstacles empêchant la conciliation entre les études, la famille et l’emploi doit nécessairement passer par des actions collectives attaquant les causes systémiques de ces obstacles. Les individus ne peuvent par eux-mêmes solutionner les problèmes rencontrés dont les causes dépassent la sphère de leur pouvoir d’action. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | d. Favoriser, lorsque les conditions le permettraient, des régimes d’études diversifiés qui faciliteraient le choix d’un horaire ou d’un régime d’études à temps plein ou à temps partiel adapté aux contraintes de temps familiales ou professionnelles; |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | d. Mise en place et financement de services de garde subventionnés ou à coût modique aux horaires souples et adaptés à l’horaire atypique et souvent variable des parents-élèves et des parents-étudiants. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | b. L’apport incontournable des partenaires du marché du travail prendrait la forme de stratégies impliquant une panoplie de moyens, comme la réduction du temps de travail, l’autorisation de faire du télétravail, la semaine de quatre jours sans perte de salaire ou d’avantages sociaux, l’utilisation de banque d’heures accumulées, les congés payés pour des obligations familiales, les congés sans solde, les congés autofinancés, l’affichage de l’horaire de travail au moins une semaine à l’avance, le droit de refuser les heures supplémentaires, etc.; |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | d. L’apport incontournable des partenaires du marché du travail permettrait de faire des représentations auprès du gouvernement pour l’adoption d’une nouvelle politique d’éducation des adultes rendant possible une action sur plusieurs fronts en faveur de la conciliation entre les études, la famille et l’emploi, et l’inviterait à porter une attention particulière à la situation des petites et des moyennes entreprises en matière de conciliation entre les études, la famille et l’emploi. |
Déclaration de l’ICÉA sur la conciliation entre les études, la famille et l’emploi (2022) | b. Adapter le programme d’Aide financière aux études à la condition des parents-étudiants en révisant les revenus parentaux qui sont pris en compte. Par exemple, il faudrait cesser de comptabiliser les revenus des conjoints dans le calcul de l’aide financière aux études, ainsi que ceux provenant de la pension alimentaire et de la rente de conjoint survivant et d’orphelin. Cette adaptation augmenterait le seuil du salaire qu’il est possible de gagner en occupant un emploi sans subir de pénalité dans le calcul de l’aide financière. |
Déclaration de principe sur l'adéquation entre la formation et l'emploi (2019) |
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Déclaration de principe sur l'adéquation entre la formation et l'emploi (2019) |
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Déclaration de principe sur l'adéquation entre la formation et l'emploi (2019) |
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Déclaration de principe sur l'adéquation entre la formation et l'emploi (2019) |
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Déclaration de principe sur l'adéquation entre la formation et l'emploi (2019) |
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Déclaration de principe sur l'adéquation entre la formation et l'emploi (2019) | L’adéquation ne peut se limiter à des analyses quantitatives centrées sur les besoins de main-d’œuvre des secteurs d’industrie ou des régions du Québec. Elle doit prendre en compte les besoins des personnes (développement des compétences, accès à l’emploi, qualité de la rémunération, conformité aux aspirations professionnelles, nécessité de s’adapter aux changements à venir, etc.) et de la société du savoir dans laquelle nous vivons (capacités d’action et d’adaptation des individus et des organisations, culture d’apprentissage tout au long de la vie, etc.). Élargir la vision actuelle de l’adéquation suppose de se questionner sur les véritables causes des déséquilibres identifiés par la CPMT; de s’attarder aux raisons structurelles pouvant expliquer le manque d’intérêt pour des emplois en demande. Par ailleurs, nous ne devrions pas avoir à choisir entre les avantages à court terme d’une main-d’œuvre spécialisée qui maîtrise des compétences spécifiques et les avantages à long terme d’une main-d’œuvre polyvalente dont on aura pris soin de développer la capacité de s’adapter à de nouveaux contextes de travail. |
Déclaration de principe sur l'adéquation entre la formation et l'emploi (2019) |
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Déclaration d’un réseau d’organisations et de chercheurs en éducation des adultes (2015) |
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Déclaration d’un réseau d’organisations et de chercheurs en éducation des adultes (2015) |
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Déclaration d’un réseau d’organisations et de chercheurs en éducation des adultes (2015) |
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Déclaration d’un réseau d’organisations et de chercheurs en éducation des adultes (2015) |
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Déclaration d’un réseau d’organisations et de chercheurs en éducation des adultes (2015) |
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Déclaration sur le droit d’apprendre pour les adultes (2008) | 2) La délégation canadienne à l’UNESCO doit faire valoir qu’il est primordial que les États s’engagent à favoriser l’accessibilité à l’éducation et à la formation continue de qualité pour tous les adultes. Pour ce faire, la délégation doit enjoindre les États à :
Par ailleurs, dans le but d’atteindre ces objectifs en matière d’accessibilité, nous recommandons à la délégation canadienne à l’UNESCO de faire valoir l’importance, pour les États et pour tous les intervenants du monde de l’éducation des adultes, d’assurer un accompagnement et un soutien financier adéquats des apprenants adultes. |
Déclaration sur le droit d’apprendre pour les adultes (2008) | 3) La délégation canadienne à l’UNESCO doit faire valoir qu’il est primordial que les États s’engagent à adopter des politiques et des lois et à mettre en place ou à soutenir des structures qui assurent le développement de l’éducation des adultes et de la formation continue. Pour ce faire, la délégation doit enjoindre les États à :
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Déclaration sur le droit d’apprendre pour les adultes (2008) | 1) La délégation canadienne à l’UNESCO doit faire valoir qu’il est primordial que les États s’engagent à assurer à tous les citoyens et toutes les citoyennes l’alphabétisation et l’acquisition d’une formation de base. Pour ce faire, la délégation doit enjoindre les États à :
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Déclaration sur le développement de l’éducation des adultes au Québec (2013) | 2. Reconnaître l’éducation des adultes et les personnes apprenantes (Action 5) : réaliser une vaste campagne de promotion, récurrente et inclusive, des différents milieux de l’éducation des adultes en s’appuyant sur des exemples de succès. |
Déclaration sur le développement de l’éducation des adultes au Québec (2013) | 18. Reconnaître les personnes qui œuvrent en éducation des adultes (Action 7) : s’assurer que le MELS soutienne financièrement une offre de formation substantielle et accessible (initiale, continue, transfert des savoirs) tant pour les milieux formel et informel qui œuvrent en complémentarité. Cette offre doit répondre aux besoins des différents acteurs et respecter l’autonomie propre à chaque milieu. |
Déclaration sur le développement de l’éducation des adultes au Québec (2013) | 3. Assurer la cohérence et la continuité de l’offre de service (Action 3) : que le MELS assure le leadership par un processus de consultation multisectorielle qui mette en avant les besoins d’apprentissage et de formation des adultes. |
Déclaration sur le développement de l’éducation des adultes au Québec (2013) | 19. Renforcer et harmoniser les systèmes et les outils de RAC (Action 8) : créer un regroupement ou une association d’intervenants et d’intervenantes dans le domaine de la reconnaissance des acquis. Assurer l’indépendance et l’ouverture de cette association qui aurait pour tâche de définir une charte de bonnes pratiques ou un cadre d’assurance qualité (ex. : ISO). |
Déclaration sur le développement de l’éducation des adultes au Québec (2013) | 14. Reconnaître le rôle des groupes populaires en éducation des adultes (Action 17) : se donner une voix commune, créer un espace de concertation qui conférerait au secteur de l’éducation des adultes en général et de l’éducation populaire en particulier plus de poids politique pour se faire entendre auprès du gouvernement, notamment dans le but d’exercer une pression à court terme pour réintroduire l’éducation populaire et une définition large de l’éducation dans une nouvelle politique gouvernementale à venir et, à plus long terme, avoir une influence politique dans l’orientation et l’élaboration de cette politique et assurer un suivi régulier dans sa mise en œuvre et son actualisation. |